Turk Head (1)

Dès le lendemain, le samedi donc, Claire et moi avion rendez-vous pour une soirée plus longue. Et oui, comme je travaille le samedi matin, à mon grand regret, je n’avais pas trop fait la fête la veille. Rdv à 17 h 00 au dernier tram. Bon, déjà j’ai dis que pour moi 19 h 00 serait mieux. Ben oui, rentrée 5 h00, levée 7 h 20 pour travailler, je voulais dormir.

On avait rdv avec un gaçon au pair sur Dublin. Il s’appelle Jonathan et n’a pas de chance car bien qu’étant sur Dublin, la zone où il habite n’est pas désservie par les bus de nuit, la cata, il a donc du rentrer vers 11 h 30 je crois. Ceci-dit, nous avons eut le temps d’apprendre à nous connaitre, il est bien sympa, il a 20 ans et s’éloigne pour la première fois de sa famille. En bonne sociabilisante que je suis, j’avais proposé qu’on s’achète de l’alcool plutôt que de payer dans les bars supers chers. C’est ce qu’on a fait ! Ben 17 euros pour une bouteille de 37 cl de gyn et une bouteille de lemon, ça fait mal quand même. Mais je pense qu’on est pas allé dans la bonne superette ^^

Ensuite on s’est cherché une petite ruelle et hop, on a papotté et tout, puis après on est allé dans le même pub que la veille car pour les boîte il était trop tôt. Etant donné qu’aucun serveur ne s’occupait de nous, on a sorti nos verres et on a bu notre alcool, pendant 2 h30 au moins, personne ne nous a rien dit. On a dansé un peu, on est parti accopmpagner Jonathan, et nous voilà, Claire et moi, légèrement pompettes, avec la flemme d’aller au Church. On est allé au Turks head.

Alors bien sur, deux filles seules, ça attire, je ne peux pas raconter tout, mais je me rappelle d’un jeune brésilien, qui m’a appris à danser puis après m’a offert une rose. Si c’est pas mimi. Je sais aussi que l’une des conquètes de Claire, de la veille, que j’ai appelé avec son portable en me faisant passer pour elle (oui bon, hein !) est venu la voir. Et là, là, là… seule sur la piste, enfin avec les Brésiliens, en pleine danse endiablée, je vois mon Kurt Cobain de barman, posé, à me regarder danser. J’ai sorti mon plus beau sourire, qu’il m’a rendu. Après, il y a eu plusieurs regard et tout, je l’ai vu parler de moi à un autre barman, mais c’est tout. Claire voulait aller lui demander son num, un irlandais bien sympa, qui a tout vu, m’a dit de lui demander son num… Bref, je me suis bien amusée, mais rien pour l’instant. Je l’aurai un jour…

La prochaine fois je lui file mon num sur un ptit bout de papier, on verra bien !

Le retour a été plus facile que la veille. Nous ne savions pas où prendre nos bus de nuit. Les trams s’arrêtent à 00 h 30, les bus prennent la relève jusqu’à 4 h 30. C’est tout de même 5 euros. Sur Internet avec la maman, on avait vu qu’il y avait un arrêt à St Stephen’s green, mais pas du tout, c’est plus bas. Du coup on a trop marché pour trouver et finalement, s’était bon, je prends le 46n, et dis au chauffeur de s’arrêter à Galloping Green. Il me dit un truc plusieurs fois et à chaque fois je réponds « Non, Galloping Green ». Enfin, il m’explique que je dois composter mon ticket ! Haaaaaaaa, ok (honte). Arrivé à mon arrêt, tout gentil il me dit « c’est ici, tu sais ou t’habites » moi « oui, oui ». Tu parles je suis partie dans le mauvais sens, hop, demi-tour, heureusement il n’a rien vu.

Le lendemain, même conducteur, il m’a bien reconnu et me dit « Galloping Green ! » ^^, arrivé à l’arrêt, il me fait « On se voit demain soir alors ! »

Ha ha, non je ne crois pas, je me suis levée avec un sacré mal de tête, la famille a voulu tout savoir, ils ont bien rit, puis je devais aller sur la côte avec les filles mais je ne pouvais pas. Au final, vu que le temps n’était pas super, elles sont aller au ciné.

Voilà, see you next week-end M. le chauffeur ! Et surtout, M. le barman !

Claire dans le pub

Jonathan

jonathan

Claire

Claire

Claire