My fellow

Bon, il est temps que je parle de l’histoire un peu tordue avec Thiago. Désolée pour ceux qui voulaient du croustillant. Thiago était en fait avec ses amies brésiliennes et, contrairement à ce qui était prévu, ils ne sont pas allés à Galway, trop cher. Thiago ne me l’a pas dit, au début il voulait que je rencontre ses amies, le problème était qu’elles ne parlaient qu’en portugais. elles ne parlent pas un mot d’anglais, et avec Thiago et entre elles elles ne parlaient que portugais. Thiago ne m’a donc pas proposé de venir. Il a commencé à culpabiliser, il a bu, trop bu, il m’a envoyé le fameux message. Fin de l’hisoire. Beaucoup de stress pour pas grand chose.

Maintenant, deuxième nouvelle pas trop réjouissante et bien réelle. Après Londres que l’on fait ce week-end, à deux… Thiago part pour Rome. Il revient quelques jours pour la St Patrick, évènement de folie ici, puis repart. Paris, Madrid, Barcelone, Maroc, quelques nuits dans le désert… Enfin, il fait le pélérinage de Santiago de Compostel et rentre définitivement au Brésil. D’un côté il est content de rentrer au Brésil, d’un autre il souhaite poursuive son treap.

Dans tout cela, il m’a proposé Rome (trop proche en date pour demander à ma famille) et Paris. Je ne pense pas aller à Paris avec lui, j’ai bien droit à une semaine de vacance mais je pense la prendre pour visiter à fond l’Irlande (pas de retour en France, mes parents viennent à Dublin du 22 au 27 mai, cool !)

Pour finir, Thiago désire apprendre le français, je lui dis (par des chemins tortueux) qu’il n’avait qu’à séjourner en France, travailler et étudier… Il m’a demandé si j’étais de retour en France en mai, je lui dis que non « pourquoi? ». Parce qu’il s’était dit qu’il pouvait passer après le pélérinage… Mmh, sympa. Il me demande alors (par des chemins tortueux ^^) si je vivrais chez mes parents. je dis que oui, pendant les deux mois de l’été mais que après, si j’arrive à entrer au niveaux que je souhaite en fac, je serai en appart’. Bref, bref, on a parlé de ce qu’il pourrait faire. Le problème étant qu’il n’a pas de visa pour travailler, il ne parle pas non plus assez bien français pour trouver un job, donc, pas trop possible. Mais c’est sympa d’y penser.