Le coup de blues

Tout c’est passé vendredi ! Soit exactement 7 jours après mon arrivée. J’avais mon après-midi et je décide de partir faire du shopping dans Dublin centre. Il pleut, mais pas grave, la maman m’emmène au tram pour que je vois bien ou il se trouve. Donc, 16 h00, j’achète mon ticket valable une journée mais que sur la ligne Luas. C’est la seule que je compte utiliser donc bon. Avant d’aller dans le centre la maman me propose de m’arrêter à Balally où se trouve le grand centre commercial Dundrum (j’aime bien ce nom ^^). Ce que je fais, elle m’avait prété son parapluie, heureusement, mon parapluie madrilène n’aurait pas tenu le coup. Et là, tout commence mal, même son gros parapluie ne résiste pas à une bourasque, il se retourne, juste au moment où j’allais rentrer dans le centre. Personne qui ne rit, super, mais personne non plus qui me regarde ou me propose son aide, hum hum. Après avoir bataillé je le retourne enfin. J’entre, m’achète des cookies et visite. Tout est cher, c’est absolument pas drôle. Moi j’aime bien faire les magasins, même si je n’achète rien, mais s’était tellement cher que je me faisais chier. J’ai quand même trouvé UN cadeau, pfiouuu. Et puis les gens vous regarde de haut, ce n’est pas chaleureux du tout, tu te fais bousculer de partout, grrrr. J’en ai marre, je décide de sortir, d’aller dans le centre. 17 h15, je sors, nuit noir. Haaa, c’est quoi ce plan, je n’étais pas sortie du même côté et ne retrouvais pas le tram. Je demande à un agent de sécurité qui m’envoyait vers une autre station, je précise que je veux prendre celle de Balally. Il faut que je traverse le centre, rendu à l’autre bout, je vois des panneaux qui indiquent le tram, je suis, je me perds, reviens sur mes pas, demande deux ou trois fois mon chemin pour que enfin un jeune gars de 17 ans m’indique bien où aller. Le tout sous la pluie… Fâchée, je décide de rentrer at home. L’horreur.

J’en parle à la maman, lui dis que les gens sont très froids sauf si on leur demande un service, elle m’explique que c’est souvent comme ça, surtout pendant les periodes de fêtes. Pas cool. J’ai oublier de parler des 4 mecs dans une bagnole qui m’appelent, ils faisaient trop peur. ça me change des gentils espagnols qui m’appelaient Rubiaaa et me disaient à quel point j’étais mignonne ^^

Donc, coup de blues, maman me réconforte au tel.

Au final, je crois que vous me manquez tous bande d’amis. Vivement les fêtes et que je me fasse des amis aussi et surtout !