Après 2008madrid dont vous avez le lien dans ce blog. J’ai la joie de vous accueillir sur 2009dublin ! Me voilà partie pour de nouvelles aventures, qui, je l’espère, seront tout aussi palpitantes.
Pour ne perdre personne en route, voici un bref résumé de ce qui m’a amené ici :
Après être rentrée de Madrid, je voulais partir en tant qu’assistante en Angleterre. La loi ayant changé, je me suis retrouvée trop jeune pour être assistante. Durant le mois d’août je n’ai pas trop poussé mes recherches, jai postulé pour un emploi à Malte… Après vérification, et après avoir été recruté, je refuse le poste. J’avais entre temps appris que Malte n’était pas le lieu idéal pour améliorer son anglais. Je me suis donc éclatée tout le mois d’août à rien foutre de ma vie jusqu’à ce que… une amie de mon frère Ismaël, lui apprenne que la famille où elle avait été fille au paire cherchait quelqu’un. Ni une, ni deux, mon frère lui extirpe quelques renseignements. Une famille californienne avec trois filles. Wahoo, ça aurait été super si cette famille ne m’avait pas faite attendre tout le mois de septembre pour m’annoncer que finalement qu’elle ne pouvait accueillir une fille au pair. Ceci étant dit, la famille avait des raisons tout à fait recevables.
Mon oncle, frère de ma maman, qui habite à Swidon, près de Londres, me propose son aide. Il connait une personne cherchant une fille au paire qui elle même connait une famille qui cherche une au paire. (dur, hein ?). Bref, la première famille n’a pas supporté la présence de leur ancienne fille au pair, elle n’en veut plus. Dans la seconde, le papa d’accueil c’est amouraché de la jeune fille qui a gentillement été reconduite vers son pays d’origine. Je ni crois plus, je désespère. Heureusement, assurant mes arrières, j’avais contacté un association en lien avec la smeba qui s’occupe d’envoyer de jeunes filles au paire. (je mets un lien pour plus d’info)
Elle m’a tout d’abord proposé une famille super, au nord de l’Irlande, mais il y a eut une grande innondation chez eux et hop, plus de famille d’accueil. Il y a eu une autre famille, en Angleterre, que j’ai refusé pour des raisons qui me semblent bonnes. Au final, Christine Simon, qui travaille pour l’asso, me propose la famille dans laquelle je suis. La maman devait me contacter par téléphone, elle a mis deux bonnes semaines avant de le faire. Je suis très contente, le contact était bon, la maman apparaissait comme sympathique, dynamique et… elle comprennait mon humour. Deux jours plus tard, elle contacte Christine Simon pour lui dire que je lui plais. C’est un lundi. Je monte à nantes, signe les papier et pars 4 jours plus tard pour Dublin, le vendredi 5 décembre.
2009 Dublin 
Votre commentaire